Les essences communes de notre région

Dans la région nantaise nous trouvons communément les mêmes essences d’arbre. Il nous est fréquent de travailler sur les mêmes essences. C’est ainsi que nous vous proposons des fiches, sur les arbres que vous pouvez rencontrer dans votre jardin. Ces fiches vous permet de reconnaitre un arbre par son feuillage, son écorce, ses fleurs… De plus, vous apprendrez l’historique de l’essence en question, d’où elle provient et ses caractéristiques clés.
Ces fiches ont été simplifié pour faciliter la compréhension et ainsi ouvrir la connaissances des arbres au grand public.
Voici la liste des 10 essences les plus fréquentes dans notre région nantaise :
Suite à la lecture l’article vous concernant n’hésitez pas à prendre contact avec nous, pour diagnostiquer votre arbre. Nos rendez-vous sont gratuit sur rendez-vous.

Le chêne Pédonculé

Le chêne pédonculé  ou Quercus robur se trouve principalement en Europe et en Asie mineure. Il est le plus grand de tous les chênes, le plus répandu et le plus populaire.

Pour reconnaitre le chêne pédonculé : Il se démarque part ses feuilles, caduques de près de 10 cm, glabres avec 3 à 7 paires de lobes, assez profondément découpé. Autre signe distinctif, son écorce qui se fissure profondément avec l’âge. Son bois est utilisé pour l’ornement, bois, écorce.

Taille adulte 45M Longévité 400 à 500 ans Espece spontanée Age maturité 65 ans

Les maladies ou menaces fréquentes chez le chêne pédonculé sont les suivantes :

  • Odium du chêne, un champignon qui couvre les feuilles d’une pédicule blanche, ralentit la croissance. Pas d’impact mortel.
  • Processionnaire du chêne, se nourrit du feuillage. Elles sont gravement allergènes.
  • Cynips de la cupule, excroissances galeuse qui agit sur les glands, aucun risque pour l’arbre.
  • Pucerons du chêne, jaunisses ou brunissent le feuillage, ralentit la croissance de l’arbre et sa régénération.

Le chêne rouge ou d'amérique

Le chêne rouge ou Quercus rubra provient de l’est des États Unis, puis implanté en France et en Europe aux XVIII siècles. Son nom provient de sa coloration automnale, rouge. Il a été utilisé comme arbre d’ornement car reconnu pour sa croissance et sa productivité abondante, ainsi nous le retrouvons un peu partout dans nos parcs et nos jardins.

Pour reconaitre le chêne rouge ou d’Amérique : Il se reconnait grâce à son écorce lisse, aux sinus et arrondis de ses feuilles, il ne faut pas prendre en compte la taille de ses feuilles car elles ont une grande variabilité de taille. Ses glands sont reconnaissables, possédant un court pédoncule, une pointe au bout et ils sont contenus dans une cupule très aplatie et peu profonde.

Taille adulte 30M Longévité plus de 50 ans Espece subspontanée ou cultivée Age maturiténon établi

Les maladies ou menaces fréquentes chez le chêne rouge ou d’Amérique sont les suivantes :

  • Odium du chêne, un champignon qui couvre les feuilles d’une pédicule blanche, ralentit la croissance. Pas d’impact mortel.
  • Chancre du chêne rouge.
  • Cynips de la cupule, excroissances galeuse qui agit sur les glands, aucun risque pour l’arbre.
  • Maladie du corail, c’est un champignon qui forme des pustules sur le bois, il faut supprimer les bois atteint.

Le chêne des marrais

Le chêne des marrais ou Quercus palustris muenchh nous provient de l’Est des États Unis, puis introduit en France et en Europe au XVII siècles. Il prend également des colorations rouges à l’automne, il pousse sur des sols très frais, humides et acides. Mauvaise qualité de bois. Les branches ont une particularité, quand elles sont mortes elle restent sur l’arbres, elles sont également très dure et nerveuse.

Pour reconnaitre le chêne des marrais : Ses feuilles plus grande que celles du chêne d’Amérique, leur sinus plus profonde et très évasés. Le seul vrai critères se sont les glands de petite taille et avec une cupule profonde et une pointe au bout.

Taille adulte 30M Longévité plus de 50 ans Espece subspontanée ou cultivée Age maturité non établi

Les maladies ou menaces fréquentes chez le chêne des marrais sont les suivantes :

  • La chlorose, jaunissement des feuilles, commune dans les sols alcalins. Peut gravement endommager l’arbre.
  • La cloque des feuilles, à l’intérieur se trouvent des asques qui vont du jaune et du brun. Risque d’affaiblir l’arbre.
  • Cynips de la cupule, excroissances galeuse qui agit sur les glands, aucun risque pour l’arbre.
  • Maladie du corail, c’est un champignon qui forme des pustules sur le bois, il faut supprimer les bois atteint.

Le Frêne commun

Le frêne commun ou Fraxinus excelsior se trouve partout en Europe sauf près du bassin méditerranéen. De plus il n’aime pas la haute montagne. C’est l’un des grands arbres forestier, essence de lumière le frêne résiste bien au froid et à touts types de terrain même si sa préférence se porte sur les sols riches et bien alimenté en eau. Il est très apprécié des bétails grâce à son feuillage fournit. Dans certaines région on prépare une boisson rafraichissante avec son feuillage « la frênette ». Son bois d’un blanc légèrement rosé a presque les même qualités que celui du chêne, mais il est moins durable et resistant. Il sert toute fois beaucoup en ébénisterie, aujourd’hui encore les plus belles billes sont déroulé en bois de plaquage.

Pour reconnaitre le Frêne commun : Il est reconnaissable par ses feuilles, caduques et opposées, sont composées de foliotes dentées et glabres. Les bourgeons sont noir, et donc facilement reconnaissable au printemps. D’abord lisse l’écorce se fissure et devient gris beige avec le temps.

Taille adulte 40M Longévité  150 ans Espece spontanée Age maturité 20 ans

Les maladies ou menaces fréquentes chez le Frêne commun sont les suivantes :

  • Chalarose du frêne, un champignon qui s’installe puis se développe dans le bois du chêne, ce qui entraine un fletrissement des pousses, décoloration de la zone touché, nécrose de l’écorce.
  • Tenthrède du frêne, une chenille qui se nourri des feuilles de l’arbre jusqu’a la défoliation.
  • Polypore hérissé, un champignon à chapeau jaune rouillé, provoque la pourriture du bois et des feuilles nanifiées et décolorées
  • Maladie du corail, c’est un champignon qui forme des pustules sur le bois, il faut supprimer les bois atteint.

Le tilleul commun ou d'Europe

Le tilleul commun ou tilia nous vient de l’Europe plus particulièrement d’hollande, où pendant le XVIII siècles il a fait l’objet de culture intensive. C’est enfaite un hybride entre le tilleul a grandes feuilles et celui à petites feuilles. On le trouve dans les bois mais se sont dans les parcs que sa présence est importante. Il est recherché pour son feuillage épais et son port majestueux, d’une vigueur exceptionnel il dépasse les autres tilleuls et même les autres feuillus indigènes de nos forêt. Il est presque toujours stérile. Malheureusement drageonnant vigoureusement de souche, produisant de nombreuse pousse à partir même du tronc il demande des soins continus.

Pour reconnaitre le tilleul commun : Il est reconnaissable par ses feuilles caduques de 5 à 10 cm de long, pointus cordiformes et vert moyen. Elles sont lisses et légèrement duveteuse. L’écorce grise présente des fissures à maturité. Ses fleurs jaunes verdâtres apparaissent en Cymes retombantes de 5 à 8 cm de long en juillet. Elles sont très recherché par les abeilles.

Taille adulte 45M Longévité plusieurs centaines d’années Espece spontanée Age maturité non établi

Les maladies ou menaces fréquentes chez le Tilleul commun sont les suivantes :

  • Puceron parasitaire, il en existe beaucoup de différent, dans la plupart des cas ils disparaissent naturellement.
  • Maladie du corail, c’est un champignon qui forme des pustule sur le bois, il faut supprimer les bois atteint.
  • La galle du tilleul, excroissance verte et rouge sur les feuilles, aucun dégâts pour l’arbre purement esthétique
  • Anthracnose du tilleul, un champignon qui provoque des tâches violettes voir noir sur le feuillage provoquant une chute prématurée.

Le Marronnier

Le marronnier ou Aesculus hippocastanum nous vient d’Europe de l’est, des basses montagnes contrairement à ce que l’on croit : indien. C’est l’arbre des cours de récréation, ou ses marrons ont marqué la génération précédente. Il se fait une place facilement dans nos rues et nos parcs c’est pour cela qu’il est l’arbre d’ornement le plus répandu en France. Il n’aime pas l’ombre et est donc rarement en forêt contrairement à ses marrons qui aiment y germer. Sa floraison est somptueuse ce qui en fait l’hôte des cours et des allés. Fragile à l’état jeune, il n’aime pas les zones trop sèches. Introduit en Europe occidental au XVI siècle il comporte aujourd’hui beaucoup de variétés.

Pour reconnaitre le marronnier : Il est reconnaissable par ses feuilles, caduques et palmées qui sont composées de 5 à 7 foliotes vert sombre fortement veinées, dentées et élargies vers l’extrémité et insérées en un seul point au sommet du pétiole. L’écorce des vieux arbres brunit et se crevasse. En mai il fleuri de fleur blanches à pétales.

Taille adulte 15 à 20M Longévité 100 à 150 ans Espece cultivée Age maturité 20 ans

Les maladies ou menaces fréquentes chez le Marronnier sont les suivantes :

  • La mineuse du marronnier, une chenille qui se développe à l’intérieur des feuilles, les feuilles prennes une couleur brune et chutes prématurément. Nécessite des pièges à phéromone ou des mangeoires a mésanges.
  • Le chancre bactérien, un ensemble de bactéries attaquant feuilles (dessèchement) et bois (liaison de l’écorce et du bois laissant sortir une matière rougeâtre formant une croute). Risque, ralenti la croissance voir la stope.
  • Maladie des taches rouges, un champignon qui s’installe sur les feuilles, provoquant une chute prématurée.

Le Bouleau blanc

Le bouleau blanc ou Beltula pendula roth est caractéristique des forêt nordique, malgré tout nous le voyons partout en France. Le bouleau blanc attire le regard par son blanc argenté, il est l’un des hôtes familiers de nos forêt et forme parfois des forêt entières. Il aime touts types de sols parfois même très humide voir marécageux. L’espèce a le pouvoir de germer facilement grâce notamment à son système de bourgeonnement souterrain. Il s’autorégule, dès que la forêt devient trop dense, lui qui a besoin de beaucoup de lumière viendra s’effacer et n’apparaître en individus isolés. On utilise encore son bois, très léger, madré, pour des caissettes ou de la pâte à papier.

Pour reconnaitre le Bouleau Blanc : Il est reconnaissable par ses feuilles, dont la base est presque droite, sont caduques alternes vert franc, brillantes et glabres. Le libre est triangulaire très effilé au sommet, doublement denté sur les bords. L’écorce blanche se détache en larges plaque avec l’âges.

Taille adulte 15 à 22M Longévité 100 ans Espece spontanée Age maturité 10 à 20 ans

Les maladies ou menaces fréquentes chez le Bouleau blanc sont les suivantes :

  • L’argile du bouleau, une larve qui pond sous l’écorce, nuisant à la circulation de la sève. On peut le voir par un affaiblissement de l’arbre, des perforations sur le tronc. Un arbre très attaqué peut mourir la première année.
  • Punaise du bouleau, insecte qui envahi l’arbre mais ne nuit pas à sa croissance
  • Chenille mineuse, attaque les feuilles du bouleau, provoque un brunissement du feuillage et une chute prématuré.
  • Polypore du bouleau, un champignon à chapeau volumineux qui inflige une profonde nécrose du bois.

Le Pin Radiata

Le pin radiata ou Pinus radiata nous vient des États Unis et plus particulièrement de la Californie, il est arrivé sur nos terres aux XIX siècles. Il a besoin de sol acides, profond et bien alimentés en eau. On le trouve le long de côte basque jusqu’en Bretagne. Il est remarquable par sa grandeur et sa croissance rapide de 1 à 1,5 m par an. Il est utilisé principalement pour le reboisement et d’ornement en France.

Pour reconnaitre le pin radiata : Il est reconnaissable par ses longues aiguilles 15-25 cm, flexibles et légèrement vrillé, aux cônes oblongs et courts 7-10 cm présentant des écailles munis de la même petite pointues. L’écorce brun foncé est épaisse et fissurée.

Taille adulte 40 à 50M Longévité 250 ans Espece cultivée Age maturité non établi

Les maladies ou menaces fréquentes chez le Pin radiata sont les suivantes :

  • Des taches brunes, champignon, attaque les aiguilles par des taches brunes bordé de jaunes tirant vers le noir après installation complete. Risque stop totalement la régénération des aiguilles et peuvent entrainer la mort de certaines branches voir de l’arbre si il est jeune.
  • Le fusarium du Pin, un champignon, impact : Fonte des semis, nécroses racinaire, chlorose et dépérissement du feuillage, chancres résineux sous l’écorce. Pas encore de traitement connu.
  • Processionnaire du pin, chenille qui attaque les résineux. Plusieurs luttes possible.

L'érable plane

L’érable plane ou Acer platanoides est originaire du Nord Est de la France, il apprécie les montagne, mais se contient sous les 1500m d’altitude, et les collines, aujourd’hui on peut le trouver en Europe jusqu’au Caucase. Reconnu pour son développement rapide, et reconnaissable par sa floraison qui survient au printemps. Son bois est recherché pour la menuiserie et en tournerie, et des plaquages sont fait avec les plus beau tronc.

Pour reconnaitre l’érable plane :  Il est reconnaissable par ses feuilles : elles sont opposées et possèdent cinq nervures principales. Enfin les sinus qui séparent les feuilles sont arrondis. Par son écorce fissuré similaire au chêne sessile, grisâtre. Son utilisation : ornement, bois : ébénisterie, menuiserie, tournerie.

Taille adulte 30M Longévité 300 à 400 ans Espece spontanée Age maturité non établi

Les maladies ou menaces fréquentes chez l’érable plane sont les suivantes :

  • La maladie de la suie de l’érable, un champignon qui se développe dans le bois, boursouflure laissant apparaitre une suie noir, perte de feuille prématuré sur une partie de l’arbre. Risque : dépérissement de l’arbre.
  • Pucerons, qui envahi le feuillage, les rendent poisseuse et ce couvre de fumagine.
  • Maladie du corail, c’est un champignon qui forme des pustule sur le bois, il faut supprimer les bois atteint.
  • L’anthracnose les feuilles sont couvertes d’une multitude de petites taches, puis elles se dessèchent.

L'érable sycomore

L’érable sycomore ou Acer pseudoplatanus se trouve en Europe, en montagne jusqu’à 1500m d’altitude, dans les forêt de sapins ou de hêtres. Sa plus grande concentration est dans l’Est de la France, dans les vallons frais. Il est aujourd’hui planté partout, dans les jardins et parcs de nos villes. L’érable sycomore est le plus majestueux des érables, connu pour sa croissance juvénile très rapide et sa longévité : on connait des sycomore de plus de 3 siècle. Il est d’une grande fécondité, fructifie abondamment et régulièrement.

Pour reconnaitre l’érable sycomore : Il est reconnaissable par ses feuilles caduques opposées munis d’un long pétiole assez fin. Le limbe un peu cordé à la base, vert foncé, a 5 lobes triangulaires dentés. L’inflorescence à l’allure d’une petite grappe étroite et pendante. Le fruit sec, a quant a lui 2 graines ailées formant presque un angle droit ce qui les distingues des autres érables. L’écorce presque lisse s’écaille avec l’âge.

Taille adulte 20 à 35M Longévité 250 ans Espece spontanée Age maturité 20 ou 30 ans

Les maladies ou menaces fréquentes chez l’érable sycomore sont les suivantes :

  • La maladie de la suie de l’érable, un champignon qui se développe dans le bois, boursouflure laissant apparaitre une suie noir, perte de feuille prématuré sur une partie de l’arbre. Risque : dépérissement de l’arbre.
  • Pucerons, qui envahi le feuillage, les rendent poisseuse et ce couvre de fumagine.
  • Maladie du corail, c’est un champignon qui forme des pustule sur le bois, il faut supprimer les bois atteint.
  • L’anthracnose les feuilles sont couvertes d’une multitude de petites taches, puis elles se dessèchent.

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